Outilthèque de la FCPPF
Détail de l'éditeur
Amsterdam
localisé à :
Paris
|
Documents disponibles chez cet éditeur (2)



Titre : Cultures pornographiques : Anthologie des porn studies Type de document : texte imprimé Auteurs : Florian VÖRÖS, Auteur Editeur : Paris [France] : Amsterdam Année de publication : 2015 Importance : 320 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-143-4 Langues : Français (fre) Index. décimale : 031 Pornographie et érotisme Résumé : « Quand on en a vu un, on les a tous vus. »
C’est contre cette affirmation que se développent les porn studies, sur les cendres encore chaudes des sex wars qui opposent mouvements anti-pornographie et mouvements anti-censure dans les années 1980 en Grande-Bretagne et aux États-Unis.
De la carte postale à la webcam en passant par le film hard, les porn studies font du porno un objet d’étude légitime et décortiquent avec finesse ses codes, conventions et stéréotypes. Elles révèlent son histoire passionnante, à la croisée des innovations technologiques, des transformations du capitalisme et des mobilisations féministes. S’intéressant à la fois à la production et à la réception des images, elles prennent le public du porno au sérieux, dans toute sa pluralité et avec toutes les compétences d’analyse qu’on lui refuse souvent.
Cette anthologie présente pour la première fois en français les textes fondateurs des porn studies, qu’elle associe à des explorations contemporaines des mondes de la pornographie en ligne. Sans mépris ni mise à distance, mais sans discours enchanté non plus, elle renouvelle les perspectives féministes sur la culture populaire.Cultures pornographiques : Anthologie des porn studies [texte imprimé] / Florian VÖRÖS, Auteur . - Paris [France] : Amsterdam, 2015 . - 320 p.
ISBN : 978-2-35480-143-4
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 031 Pornographie et érotisme Résumé : « Quand on en a vu un, on les a tous vus. »
C’est contre cette affirmation que se développent les porn studies, sur les cendres encore chaudes des sex wars qui opposent mouvements anti-pornographie et mouvements anti-censure dans les années 1980 en Grande-Bretagne et aux États-Unis.
De la carte postale à la webcam en passant par le film hard, les porn studies font du porno un objet d’étude légitime et décortiquent avec finesse ses codes, conventions et stéréotypes. Elles révèlent son histoire passionnante, à la croisée des innovations technologiques, des transformations du capitalisme et des mobilisations féministes. S’intéressant à la fois à la production et à la réception des images, elles prennent le public du porno au sérieux, dans toute sa pluralité et avec toutes les compétences d’analyse qu’on lui refuse souvent.
Cette anthologie présente pour la première fois en français les textes fondateurs des porn studies, qu’elle associe à des explorations contemporaines des mondes de la pornographie en ligne. Sans mépris ni mise à distance, mais sans discours enchanté non plus, elle renouvelle les perspectives féministes sur la culture populaire.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FCPPF000000000749 031 VOR Livres / Brochures Outilthèque Documentaires Disponible
Titre : La pensée straight Type de document : texte imprimé Auteurs : Monique WITTIG, Auteur Editeur : Paris [France] : Amsterdam Importance : 135 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-128-1 Langues : Français (fre) Index. décimale : 033 LGBTQIA+ - Orientations sexuelles, identités de genre, intersexuation Résumé : En 1978, Monique Wittig clôt sa conférence sur « La Pensée straight » par ces mots : « Les lesbiennes ne sont pas des femmes. » L’onde de choc provoquée par cet énoncé n’en finit pas de se faire ressentir, aujourd’hui encore, dans la théorie féministe et au-delà . En analysant l’aspect fondateur de la « naturalité » supposée de l’hétérosexualité au sein de nos structures de pensées, que ce soit par exemple dans l’anthropologie structurale ou la psychanalyse, Monique Wittig met au jour le fait que l’hétérosexualité n’est ni naturelle, ni un donné : l’hétérosexualité est un régime politique. Il importe donc, pour instaurer la lutte des « classes », de dépasser les catégories « hommes »/« femmes », catégories normatives et aliénantes. Dans ces conditions, le fait d’être lesbienne, c’est-à -dire hors-la-loi de la structure hétérosexuelle, aussi bien sociale que conceptuelle, est comme une brèche, une fissure permettant enfin de penser ce qui est « toujours déjà là ». La pensée straight [texte imprimé] / Monique WITTIG, Auteur . - Paris [France] : Amsterdam, [s.d.] . - 135 p.
ISBN : 978-2-35480-128-1
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 033 LGBTQIA+ - Orientations sexuelles, identités de genre, intersexuation Résumé : En 1978, Monique Wittig clôt sa conférence sur « La Pensée straight » par ces mots : « Les lesbiennes ne sont pas des femmes. » L’onde de choc provoquée par cet énoncé n’en finit pas de se faire ressentir, aujourd’hui encore, dans la théorie féministe et au-delà . En analysant l’aspect fondateur de la « naturalité » supposée de l’hétérosexualité au sein de nos structures de pensées, que ce soit par exemple dans l’anthropologie structurale ou la psychanalyse, Monique Wittig met au jour le fait que l’hétérosexualité n’est ni naturelle, ni un donné : l’hétérosexualité est un régime politique. Il importe donc, pour instaurer la lutte des « classes », de dépasser les catégories « hommes »/« femmes », catégories normatives et aliénantes. Dans ces conditions, le fait d’être lesbienne, c’est-à -dire hors-la-loi de la structure hétérosexuelle, aussi bien sociale que conceptuelle, est comme une brèche, une fissure permettant enfin de penser ce qui est « toujours déjà là ». Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FCPPF000000000143 033 WIT Livres / Brochures Bibliothèque interne Documentaires Disponible