Le déni de grossesse / Sophie MARINOPOULOS

Public ISBD Titre : Le déni de grossesse Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie MARINOPOULOS, Auteur Editeur : Ministère de la Communauté française Importance : 64 p. Langues : Français (fre) Index. décimale : 028 Santé, corps et anatomie - Procréation, grossesse, fausses couches, IVG Résumé : Comment expliquer qu’une future maman ne se sente pas enceinte ? Comment comprendre que l’enfant naisse alors que la grossesse est restée inconnue de la mère et de son entourage ? Pour comprendre le paradoxe sidérant du déni de grossesse qui se manifeste par une « non prise de conscience de l’état d’être enceinte », Sophie Marinopoulos nous expose la dimension psychique de la maternité et de la parenté. Parce que le psychisme s’allie au corps pour annuler une réalité non pensable pour la femme, l’auteur parle de « trouble grave de la représentation. ». Cette absence de pensée qui nie la réalité de l’enfant et de la maternité se contamine à l’entourage en ce compris la sphère de soins. La (re)connaissance de ce phénomène hors de toute rationalité est l’accès à une prévention centrée sur la dimension psychique parallèlement à l’encadrement technologique actuel de la grossesse. Note de contenu : SOMMAIRE Approche sociale • Le déni ne se parle pas • Du fait divers à l’acte juridique Approche théorique • Le désir d’enfant et ses aléas • Comment devient-on mère ou la construction de la maternité psychique? - La mère des soins - La mère symbolique - La mère préœdipienne - La mère Å“dipienne • Les trimestres psychiques de la maternité - Le premier trimestre: l’état d’être enceinte - Le deuxième trimestre: l’attente d’un enfant - Le troisième trimestre: l’attente d’un enfant dont la femme va se séparer • Le déni dans la littérature psychiatrique • Le déni est contagieux • Le déni à l’épreuve du psychisme: quelles hypothèses psychopathologiques? • Le corps dans le déni de grossesse • L’enfant du déni En conclusion, quelle prévention? Bibliographie Le déni de grossesse [texte imprimé] / Sophie MARINOPOULOS, Auteur . - Ministère de la Communauté française, [s.d.] . - 64 p. Langues : Français (fre) Index. décimale : 028 Santé, corps et anatomie - Procréation, grossesse, fausses couches, IVG Résumé : Comment expliquer qu’une future maman ne se sente pas enceinte ? Comment comprendre que l’enfant naisse alors que la grossesse est restée inconnue de la mère et de son entourage ? Pour comprendre le paradoxe sidérant du déni de grossesse qui se manifeste par une « non prise de conscience de l’état d’être enceinte », Sophie Marinopoulos nous expose la dimension psychique de la maternité et de la parenté. Parce que le psychisme s’allie au corps pour annuler une réalité non pensable pour la femme, l’auteur parle de « trouble grave de la représentation. ». Cette absence de pensée qui nie la réalité de l’enfant et de la maternité se contamine à l’entourage en ce compris la sphère de soins. La (re)connaissance de ce phénomène hors de toute rationalité est l’accès à une prévention centrée sur la dimension psychique parallèlement à l’encadrement technologique actuel de la grossesse. Note de contenu : SOMMAIRE Approche sociale • Le déni ne se parle pas • Du fait divers à l’acte juridique Approche théorique • Le désir d’enfant et ses aléas • Comment devient-on mère ou la construction de la maternité psychique? - La mère des soins - La mère symbolique - La mère préœdipienne - La mère Å“dipienne • Les trimestres psychiques de la maternité - Le premier trimestre: l’état d’être enceinte - Le deuxième trimestre: l’attente d’un enfant - Le troisième trimestre: l’attente d’un enfant dont la femme va se séparer • Le déni dans la littérature psychiatrique • Le déni est contagieux • Le déni à l’épreuve du psychisme: quelles hypothèses psychopathologiques? • Le corps dans le déni de grossesse • L’enfant du déni En conclusion, quelle prévention? Bibliographie

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FCPPF000000000410	028 MAR	Livres / Brochures	Bibliothèque interne	Documentaires	Disponible

Engagement, décision et acte dans le travail avec les familles / Yves CARTUYVELS

Public ISBD Titre : Engagement, décision et acte dans le travail avec les familles Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves CARTUYVELS, Auteur ; Françoise COLLIN, Auteur Editeur : Ministère de la Communauté française Importance : 112 p. Langues : Français (fre) Index. décimale : 009 Violences - violences sexuelles, familiales, sexistes Résumé : Ce temps d’arrêt présente les interventions de Yves Cartuyvels, juriste et criminologue, Françoise Collin, philosophe, Jean de Munck, philosophe et sociologue, Jean Paul Mugnier, psychothérapeute, Marie-Jean Sauret, psychanalyste, Jean Pierre Lebrun psychiatre et psychanalyste réunis pour une journée d’étude tenue à Namur le 18 septembre 2004 autour des questions suivantes : Le monde contemporain veut savoir pour pouvoir décider. Le renvoi à l’expert est quotidien. Et même en dehors de sa référence, les connaissances et le savoir sont érigés comme guide obligés de toute décision. Pourtant, savoir ne suffit pas car vient toujours le moment où il s’agit de trancher. Et donc de supporter de ne pas tout savoir ! Assumer ce moment d’incertitude est d’autant plus difficile que l’Imaginaire social laisse entendre qu’il pourrait être possible de savoir davantage, et donc d’être mieux à même de décider. Il est, de ce fait, tentant de postposer l’acte de décider. Avec, par exemple, l’alibi de ne pas assez savoir. Ou de se contenter de gérer, c’est à dire d’éviter de décider. Au moins alors, s’éloigne le risque de se tromper. Décider suppose un choix, mais choisir suppose de renoncer à ce qui n’est pas choisi et cette perte est irréductible. Décider implique également prendre position, engager quelque chose de soi même vis à vis de l’autre, clarifier sa propre cohérence de penser… au risque de se tromper. Au jour le jour, autant les familles que les intervenants sociaux qui les accompagnent font l’épreuve de ces impasses ; spontanément, ils tentent de tenir une position dans laquelle il serait toujours possible d’être sujet d’un engagement, d’une décision, d’un acte ; mais dans le même mouvement, ils sont amenés à craindre l’erreur, à demander des avis complémentaires, à renvoyer vers une autre structure, à multiplier les intervenants et par là, à diluer sans le vouloir les responsabilités et les engagements que chacun peut prendre à la place singulière qu’il occupe auprès des familles. Au cours de cette journée, il sera question de la relation, espace où se déploient l’engagement, la décision et l’acte. Comment au cÅ“ur de celui-ci éviter le passage à l’acte, l’agitation ou le bougisme, mais aussi rester à distance de la gestion, de la raison administrative, de l’organisation managgeriale, tracer la structure de l’acte en assumant ses paradoxes : dans la solitude, mais avec les autres. Telles sont les questions que cette journée tentera de soutenir, sans récuser d’avance les réponses mais sans non plus nous attendre aux recettes. Gageons qu’elles sont d’autant plus importantes qu’elles concernent le travail avec des familles en désarroi Engagement, décision et acte dans le travail avec les familles [texte imprimé] / Yves CARTUYVELS, Auteur ; Françoise COLLIN, Auteur . - Ministère de la Communauté française, [s.d.] . - 112 p. Langues : Français (fre) Index. décimale : 009 Violences - violences sexuelles, familiales, sexistes Résumé : Ce temps d’arrêt présente les interventions de Yves Cartuyvels, juriste et criminologue, Françoise Collin, philosophe, Jean de Munck, philosophe et sociologue, Jean Paul Mugnier, psychothérapeute, Marie-Jean Sauret, psychanalyste, Jean Pierre Lebrun psychiatre et psychanalyste réunis pour une journée d’étude tenue à Namur le 18 septembre 2004 autour des questions suivantes : Le monde contemporain veut savoir pour pouvoir décider. Le renvoi à l’expert est quotidien. Et même en dehors de sa référence, les connaissances et le savoir sont érigés comme guide obligés de toute décision. Pourtant, savoir ne suffit pas car vient toujours le moment où il s’agit de trancher. Et donc de supporter de ne pas tout savoir ! Assumer ce moment d’incertitude est d’autant plus difficile que l’Imaginaire social laisse entendre qu’il pourrait être possible de savoir davantage, et donc d’être mieux à même de décider. Il est, de ce fait, tentant de postposer l’acte de décider. Avec, par exemple, l’alibi de ne pas assez savoir. Ou de se contenter de gérer, c’est à dire d’éviter de décider. Au moins alors, s’éloigne le risque de se tromper. Décider suppose un choix, mais choisir suppose de renoncer à ce qui n’est pas choisi et cette perte est irréductible. Décider implique également prendre position, engager quelque chose de soi même vis à vis de l’autre, clarifier sa propre cohérence de penser… au risque de se tromper. Au jour le jour, autant les familles que les intervenants sociaux qui les accompagnent font l’épreuve de ces impasses ; spontanément, ils tentent de tenir une position dans laquelle il serait toujours possible d’être sujet d’un engagement, d’une décision, d’un acte ; mais dans le même mouvement, ils sont amenés à craindre l’erreur, à demander des avis complémentaires, à renvoyer vers une autre structure, à multiplier les intervenants et par là, à diluer sans le vouloir les responsabilités et les engagements que chacun peut prendre à la place singulière qu’il occupe auprès des familles. Au cours de cette journée, il sera question de la relation, espace où se déploient l’engagement, la décision et l’acte. Comment au cÅ“ur de celui-ci éviter le passage à l’acte, l’agitation ou le bougisme, mais aussi rester à distance de la gestion, de la raison administrative, de l’organisation managgeriale, tracer la structure de l’acte en assumant ses paradoxes : dans la solitude, mais avec les autres. Telles sont les questions que cette journée tentera de soutenir, sans récuser d’avance les réponses mais sans non plus nous attendre aux recettes. Gageons qu’elles sont d’autant plus importantes qu’elles concernent le travail avec des familles en désarroi

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FCPPF000000000424	009 CAR	Livres / Brochures	Bibliothèque interne	Documentaires	Disponible

Evaluation du projet pilote d’implantation structurelle d’animations à la vie affective et sexuelle à l’école en Communauté française de Belgique / Ministère de la Communauté française

Public ISBD Titre : Evaluation du projet pilote d’implantation structurelle d’animations à la vie affective et sexuelle à l’école en Communauté française de Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Ministère de la Communauté française, Auteur Editeur : Ministère de la Communauté française Importance : 164 pages Langues : Français (fre) Index. décimale : 036-1 EVRAS - Théorie et documentation sur l'EVRAS en Education Permanente Résumé : Ce rapport présente l'évaluation d'un programme pilote d'animations à la vie affective et sexuelle dans les écoles. Elle a pour mission d'évaluer : le processus d'implantation des animations réalisées par les 40 équipes dans de nouvelles écoles et de nouveaux niveaux scolaires, la faisabilité du programme ainsi que sa pertinence vue par les élèves, le personnel éducatif et les relais, la diffusion et l'institutionnalisation de ce projet. Le rapport présente les résultats obtenus au terme de l'enquête quantitative et de l'enquête qualitative, suivis de recommandations Note de contenu : 164 pages Evaluation du projet pilote d’implantation structurelle d’animations à la vie affective et sexuelle à l’école en Communauté française de Belgique [texte imprimé] / Ministère de la Communauté française, Auteur . - Ministère de la Communauté française, [s.d.] . - 164 pages. Langues : Français (fre) Index. décimale : 036-1 EVRAS - Théorie et documentation sur l'EVRAS en Education Permanente Résumé : Ce rapport présente l'évaluation d'un programme pilote d'animations à la vie affective et sexuelle dans les écoles. Elle a pour mission d'évaluer : le processus d'implantation des animations réalisées par les 40 équipes dans de nouvelles écoles et de nouveaux niveaux scolaires, la faisabilité du programme ainsi que sa pertinence vue par les élèves, le personnel éducatif et les relais, la diffusion et l'institutionnalisation de ce projet. Le rapport présente les résultats obtenus au terme de l'enquête quantitative et de l'enquête qualitative, suivis de recommandations Note de contenu : 164 pages

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FCPPF000000001199	036 MIN	Livres / Brochures	Bibliothèque interne	Documentaires	Disponible

Prévenir les troubles de la relation autour de la naissance / Reine VANDER LINDEN

Public ISBD Titre : Prévenir les troubles de la relation autour de la naissance Type de document : texte imprimé Auteurs : Reine VANDER LINDEN, Auteur ; Luc ROEGIERS, Auteur Editeur : Ministère de la Communauté française Importance : 64 p. Langues : Français (fre) Index. décimale : 028 Santé, corps et anatomie - Procréation, grossesse, fausses couches, IVG Résumé : La périnatalité est une période féconde à tous égards : ouverte aux mouvements émotionnels, créatrice de liens, porteuse d’espoirs même dans les situations très vulnérables. C’est donc un moment particulièrement crucial pour construire une prévention dans des conditions favorables. Note de contenu : SOMMAIRE L’intérêt d’une prévention • Devenir parent pousse –parfois malgré soi–à revisiter sa propre histoire d’enfance • L’arrivée d’un enfant force aussi à renégocier les liens aux générations précédentes • La médicalisation de la grossesse ouvre des espaces nouveaux aux parents • L’enfant à venir est porteur d’espoir, de nouveauté Vulnérabilité somatique • La grossesse humaine est physiologiquement fragile • La grossesse reste une prouesse pour la femme • La pensée magique infiltre encore la sphère de la reproduction • Les hospitalisations obstétricales sont souvent ressenties comme des ruptures dans les prises en charge par les professionnels de l’extra-hospitalier • Tout accident obstétrical a un impact traumatique potentiel Vulnérabilité psychologique • L’image du corps est bouleversée • L’implantation d’un être en soi n’est jamais un évènement neutre • La grossesse intruse la vie de couple • Les familles d’origine sont convoquées en période périnatale • Après la naissance, l’enfant peut rappeler divers évènements anciens – parfois secrets • La confrontation à l’enfant rêvé est parfois douloureuse Vulnérabilité psychosociale extrême • Effet pervers de l’inquiétude • Tenter de rejoindre les rêves des parents • Mobiliser du sens • Dans «l’ici-et-maintenant» Maternité et assuétudes • Arrêter la consommation de stupéfiants? • Rôle des professionnels dans la spirale de la confiance • Gérer des émotions violentes • Quand la perspective d’un placement semble inévitable Mailler le réseau: avoir tous les protagonistes en tête et créer de la sécurité • L’intra- et l’extra- hospitalier: deux mondes à comprendre, des passerelles à construire • Le réseau périnatal • Réseau: tout doit-il se communiquer? Conclusion Bibliographie Prévenir les troubles de la relation autour de la naissance [texte imprimé] / Reine VANDER LINDEN, Auteur ; Luc ROEGIERS, Auteur . - Ministère de la Communauté française, [s.d.] . - 64 p. Langues : Français (fre) Index. décimale : 028 Santé, corps et anatomie - Procréation, grossesse, fausses couches, IVG Résumé : La périnatalité est une période féconde à tous égards : ouverte aux mouvements émotionnels, créatrice de liens, porteuse d’espoirs même dans les situations très vulnérables. C’est donc un moment particulièrement crucial pour construire une prévention dans des conditions favorables. Note de contenu : SOMMAIRE L’intérêt d’une prévention • Devenir parent pousse –parfois malgré soi–à revisiter sa propre histoire d’enfance • L’arrivée d’un enfant force aussi à renégocier les liens aux générations précédentes • La médicalisation de la grossesse ouvre des espaces nouveaux aux parents • L’enfant à venir est porteur d’espoir, de nouveauté Vulnérabilité somatique • La grossesse humaine est physiologiquement fragile • La grossesse reste une prouesse pour la femme • La pensée magique infiltre encore la sphère de la reproduction • Les hospitalisations obstétricales sont souvent ressenties comme des ruptures dans les prises en charge par les professionnels de l’extra-hospitalier • Tout accident obstétrical a un impact traumatique potentiel Vulnérabilité psychologique • L’image du corps est bouleversée • L’implantation d’un être en soi n’est jamais un évènement neutre • La grossesse intruse la vie de couple • Les familles d’origine sont convoquées en période périnatale • Après la naissance, l’enfant peut rappeler divers évènements anciens – parfois secrets • La confrontation à l’enfant rêvé est parfois douloureuse Vulnérabilité psychosociale extrême • Effet pervers de l’inquiétude • Tenter de rejoindre les rêves des parents • Mobiliser du sens • Dans «l’ici-et-maintenant» Maternité et assuétudes • Arrêter la consommation de stupéfiants? • Rôle des professionnels dans la spirale de la confiance • Gérer des émotions violentes • Quand la perspective d’un placement semble inévitable Mailler le réseau: avoir tous les protagonistes en tête et créer de la sécurité • L’intra- et l’extra- hospitalier: deux mondes à comprendre, des passerelles à construire • Le réseau périnatal • Réseau: tout doit-il se communiquer? Conclusion Bibliographie

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FCPPF000000000413	028 VAN	Livres / Brochures	Bibliothèque interne	Documentaires	Disponible

La violence dans les relations amoureuses chez les jeunes agés de 12 à 21 ans / Ministère de la Communauté française

Public ISBD Titre : La violence dans les relations amoureuses chez les jeunes agés de 12 à 21 ans : une étude menée en Communaut française de Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Ministère de la Communauté française, Auteur Editeur : Ministère de la Communauté française Importance : 224 p. Langues : Français (fre) Index. décimale : 009 Violences - violences sexuelles, familiales, sexistes Résumé : Les objectifs de l’étude, tels que définis par la Direction de l’Égalité des Chances, consistent notamment à: • Evaluer l’ampleur du phénomène de la violence dans les relations amoureuses des jeunes; • Analyser le phénomène de la violence dans les relations amoureuses des jeunes et ses différentes manifestations (violence occasionnelle, continue, etc.); L’étude prend en considération la manière dont la violence permet d’exercer une domination ou est utilisée en tant que forme de légitime défense et de riposte. Les intentions et le contexte de la violence ne sont pas ignorés. • Répertorier et actualiser les données disponibles sur la violence dans les relations amoureuses des jeunes en Communauté française. La violence dans les relations amoureuses chez les jeunes agés de 12 à 21 ans : une étude menée en Communaut française de Belgique [texte imprimé] / Ministère de la Communauté française, Auteur . - Ministère de la Communauté française, [s.d.] . - 224 p. Langues : Français (fre) Index. décimale : 009 Violences - violences sexuelles, familiales, sexistes Résumé : Les objectifs de l’étude, tels que définis par la Direction de l’Égalité des Chances, consistent notamment à: • Evaluer l’ampleur du phénomène de la violence dans les relations amoureuses des jeunes; • Analyser le phénomène de la violence dans les relations amoureuses des jeunes et ses différentes manifestations (violence occasionnelle, continue, etc.); L’étude prend en considération la manière dont la violence permet d’exercer une domination ou est utilisée en tant que forme de légitime défense et de riposte. Les intentions et le contexte de la violence ne sont pas ignorés. • Répertorier et actualiser les données disponibles sur la violence dans les relations amoureuses des jeunes en Communauté française.

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FCPPF000000000999	009 MIN	Livres / Brochures	Bibliothèque interne	Documentaires	Disponible

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