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005 : VGO - Violences gynécologiques et obstétricales |
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Titre : Accouchement : les femmes méritent mieux Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Hélène LAHAYE, Auteur Editeur : Paris [France] : Michalon Importance : 289 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84186-876-6 Note générale : Par l'auteure du blog « Marie accouche là » Langues : Français (fre) Index. décimale : 005 VGO - Violences gynécologiques et obstétricales Résumé : Depuis les années 1960, l'hôpital est devenu le lieu de l'accouchement. Disparues les terreurs d'antan et les souffrances d'un autre âge : la péridurale y est aujourd'hui reine pour supprimer les douleurs. Pourtant, dès que l'on questionne les femmes sur leur expérience, nombreuses sont celles qui font part de vexations, d'intimidations, de coercitions, voire de brutalités et de violences. Ce qui devait être un heureux évènement se transforme en cauchemar sous la pression des médecins qui suivent les protocoles hospitaliers.
« On m'a volé mon accouchement. » Le refus d'entendre les femmes et la domination que les soignants exercent sur elles sont à l'origine de traumatismes physiques et psychiques considérables. Un grand nombre des dépressions post-partum ou des syndromes de stress post-traumatique trouvent probablement là leur cause. Restée longtemps cachée, cette violence commence à apparaître au grand jour, alors que la parole des femmes se libère enfin.
L'obstétrique est profondément misogyne. Elle considère les femmes comme faibles, malades, dangereuses, dont le corps serait inadapté pour mettre les enfants au monde. L'accouchement est ainsi resté l'un des derniers bastions de la domination masculine.
Rendre les femmes maîtresses de leur accouchement exige, ni plus ni moins, une révolution. En analysant les pratiques autour de l'accouchement à travers la littérature scientifique, les recommandations des instances de santé et les travaux d'historiens et d'anthropologues, Marie-Hélène Lahaye signe un document majeur, livre-clé dans la réorientation des politiques à mener autour des droits des femmes.Accouchement : les femmes méritent mieux [texte imprimé] / Marie-Hélène LAHAYE, Auteur . - Paris [France] : Michalon, [s.d.] . - 289 pages.
ISBN : 978-2-84186-876-6
Par l'auteure du blog « Marie accouche là »
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 005 VGO - Violences gynécologiques et obstétricales Résumé : Depuis les années 1960, l'hôpital est devenu le lieu de l'accouchement. Disparues les terreurs d'antan et les souffrances d'un autre âge : la péridurale y est aujourd'hui reine pour supprimer les douleurs. Pourtant, dès que l'on questionne les femmes sur leur expérience, nombreuses sont celles qui font part de vexations, d'intimidations, de coercitions, voire de brutalités et de violences. Ce qui devait être un heureux évènement se transforme en cauchemar sous la pression des médecins qui suivent les protocoles hospitaliers.
« On m'a volé mon accouchement. » Le refus d'entendre les femmes et la domination que les soignants exercent sur elles sont à l'origine de traumatismes physiques et psychiques considérables. Un grand nombre des dépressions post-partum ou des syndromes de stress post-traumatique trouvent probablement là leur cause. Restée longtemps cachée, cette violence commence à apparaître au grand jour, alors que la parole des femmes se libère enfin.
L'obstétrique est profondément misogyne. Elle considère les femmes comme faibles, malades, dangereuses, dont le corps serait inadapté pour mettre les enfants au monde. L'accouchement est ainsi resté l'un des derniers bastions de la domination masculine.
Rendre les femmes maîtresses de leur accouchement exige, ni plus ni moins, une révolution. En analysant les pratiques autour de l'accouchement à travers la littérature scientifique, les recommandations des instances de santé et les travaux d'historiens et d'anthropologues, Marie-Hélène Lahaye signe un document majeur, livre-clé dans la réorientation des politiques à mener autour des droits des femmes.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FCPPF000000000555 005 LAH Livres / Brochures Outilthèque Documentaires Disponible
Titre : Accoucher en Belgique francophone avant et pendant le covid : éléments clés de l'enquête Type de document : texte imprimé Auteurs : Fédération Wallonie Bruxelles, Auteur Editeur : Fédération Wallonie-Bruxelles Importance : 23 p. Langues : Français (fre) Index. décimale : 005 VGO - Violences gynécologiques et obstétricales Résumé : À l’instar de plusieurs pays qui se sont préoccupés du vécu des
femmes lors de leur suivi de grossesse, de leur accouchement et de la
période du post-partum en lien avec le Covid, la Plateforme Citoyenne
pour une Naissance Respectée a souhaité réaliser une recherche sur
cette question en Belgique francophone.
Pour mener cette recherche, nous avons bénéficié d’un budget de la
Fédération Wallonie-Bruxelles dans le cadre de l’appel à projets visant
à lutter contre les violences faites aux femmes et aux filles dans un
contexte post-Covid. Cela nous a permis de faire appel à l’expertise
d’une chercheuse indépendante pour la préparation du questionnaire
et l’analyse des données.Accoucher en Belgique francophone avant et pendant le covid : éléments clés de l'enquête [texte imprimé] / Fédération Wallonie Bruxelles, Auteur . - Fédération Wallonie-Bruxelles, [s.d.] . - 23 p.
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 005 VGO - Violences gynécologiques et obstétricales Résumé : À l’instar de plusieurs pays qui se sont préoccupés du vécu des
femmes lors de leur suivi de grossesse, de leur accouchement et de la
période du post-partum en lien avec le Covid, la Plateforme Citoyenne
pour une Naissance Respectée a souhaité réaliser une recherche sur
cette question en Belgique francophone.
Pour mener cette recherche, nous avons bénéficié d’un budget de la
Fédération Wallonie-Bruxelles dans le cadre de l’appel à projets visant
à lutter contre les violences faites aux femmes et aux filles dans un
contexte post-Covid. Cela nous a permis de faire appel à l’expertise
d’une chercheuse indépendante pour la préparation du questionnaire
et l’analyse des données.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FCPPF000000001055 005 FED Livres / Brochures Bibliothèque interne Documentaires Disponible Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstrétical / Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes
Titre : Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstrétical : des remarques aux violences, la nécessité de reconnaitre, prévenir et condamner le sexisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes, Auteur Importance : 170 p. Langues : Français (fre) Index. décimale : 005 VGO - Violences gynécologiques et obstétricales Résumé : Le Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes remet, ce vendredi 29 juin, son rapport « Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstétrical : des remarques aux violences, la nécessité de reconnaitre, prévenir et condamner le sexisme », à Marlène SCHIAPPA, Secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes.
Dans les 24 heures qui ont suivi le lancement sur Twitter du hashtag #PayeTonUtérus en novembre 2014, plus de 7000 femmes ont dénoncé des propos porteurs d’injonction sur leur poids ou leur sexualité, sur leur volonté ou non d’avoir un enfant, des examens vaginaux brutaux ou des actes pratiqués sans leur consentement, jusqu’à des violences sexuelles. Depuis, les prises de parole de femmes se multiplient concernant les violences gynécologiques et obstétricales, terme mobilisé depuis près d’une vingtaine d’années en Amérique latine et dans le monde anglo-saxon, pour désigner les actes sexistes les plus graves commis lors du suivi gynécologique et obstétrical.
Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstétrical sont des gestes, propos, pratiques et comportements exercés ou omis par un.e ou plusieurs membres du personnel soignant sur une patiente au cours du suivi gynécologique et obstétrical et qui s’inscrivent dans l’histoire de la médecine gynécologique et obstétricale, traversée par la volonté de contrôler le corps des femmes (sexualité et capacité à enfanter). Ils peuvent prendre des formes très diverses, des plus anodines en apparence aux plus graves et sont le fait de soignant.e.s – de toutes spécialités – femmes et hommes, qui n’ont pas nécessairement l’intention d’être maltraitant.e.s.
Bien que, à l’évidence, tou.te.s les professionnel.le.s de santé ne soient pas auteurs d’actes sexistes, les chiffres attestent d’un phénomène relativement répandu dans le suivi gynécologique et obstétrical des femmes :
• 1 accouchement sur 5 donne lieu à une épisiotomie : 1 femme sur 2 sur laquelle une épisiotomie a été réalisée déplore un manque ou l’absence totale d’explication sur le motif de l’épisiotomie ;
• Les taux d’épisiotomie – toutes grossesses confondues - sont très variables d’une maternité à l’autre : de 0,3 % (dans telle maternité de type 3 – accueillant les grossesses pathologiques et à grands risques) à 45 % (dans telle maternité de type 1 – accueillant des grossesses normales ou à bas risque) ;
• 6% des femmes se déclarent « pas du tout » ou « plutôt pas » satisfaites du suivi de leur grossesse ou de leur accouchement, ce qui représente environ 50 000 femmes pour l’année 2016 ;
• 3,4% des plaintes déposées auprès des instances disciplinaires de l’Ordre des médecins en 2016 concernent des agressions sexuelles et des viols commis par des médecins.
Ces prises en charge inadaptées peuvent s’expliquer par :
- la multiplicité d’occasions en comparaison avec d’autres suivis médicaux (une femme aura en moyenne 50 consultations gynécologiques et obstétricales au cours de sa vie) ;
- l’insuffisante prise en compte du caractère particulièrement intime de ces consultations ;
- le sexisme encore très prégnant dans le secteur médical : 86% des internes en médecine (95% des femmes et 68% des hommes) déclarent avoir été exposé.e.s à du sexisme ;
- l’histoire de la gynécologie médicale, marquée, à l’origine de la spécialité, par la volonté de contrôler le corps des femmes (sexualité et capacité à enfanter) ;
- le manque de moyens humains et financiers alloués au secteur de la santé, et en particulier dans les maternités.
Or, en dépit d’une assez forte prévalence, les actes sexistes sont largement ignorés : les droits et les procédures de signalement sont méconnus des patientes et les procédures disciplinaires inadaptées.
Pour faire du suivi gynécologique et obstétrical des femmes un parcours qui n’entrave ni leurs droits, ni leur autonomie, le Haut Conseil à l’Egalité formule dans son rapport 26 recommandations, articulées autour de 3 axes :
• reconnaître les faits, c’est-à -dire l’existence et l’ampleur des actes sexistes dans le suivi gynécologique et obstétrical ;
• prévenir les actes sexistes, via la formation des professionnel.le.s de santé, l’inscription de l’interdiction des actes sexistes dans le code de déontologie médicale, et la mise en œuvre des recommandations de bonnes pratiques existantes ;
• faciliter les procédures de signalement et condamner sans détour les pratiques sanctionnées par la loi, via l’information des femmes sur leurs droits, l’implication des ordres professionnels et la formation des personnels en contact avec les femmes.Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstrétical : des remarques aux violences, la nécessité de reconnaitre, prévenir et condamner le sexisme [texte imprimé] / Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes, Auteur . - [s.d.] . - 170 p.
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 005 VGO - Violences gynécologiques et obstétricales Résumé : Le Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes remet, ce vendredi 29 juin, son rapport « Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstétrical : des remarques aux violences, la nécessité de reconnaitre, prévenir et condamner le sexisme », à Marlène SCHIAPPA, Secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes.
Dans les 24 heures qui ont suivi le lancement sur Twitter du hashtag #PayeTonUtérus en novembre 2014, plus de 7000 femmes ont dénoncé des propos porteurs d’injonction sur leur poids ou leur sexualité, sur leur volonté ou non d’avoir un enfant, des examens vaginaux brutaux ou des actes pratiqués sans leur consentement, jusqu’à des violences sexuelles. Depuis, les prises de parole de femmes se multiplient concernant les violences gynécologiques et obstétricales, terme mobilisé depuis près d’une vingtaine d’années en Amérique latine et dans le monde anglo-saxon, pour désigner les actes sexistes les plus graves commis lors du suivi gynécologique et obstétrical.
Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstétrical sont des gestes, propos, pratiques et comportements exercés ou omis par un.e ou plusieurs membres du personnel soignant sur une patiente au cours du suivi gynécologique et obstétrical et qui s’inscrivent dans l’histoire de la médecine gynécologique et obstétricale, traversée par la volonté de contrôler le corps des femmes (sexualité et capacité à enfanter). Ils peuvent prendre des formes très diverses, des plus anodines en apparence aux plus graves et sont le fait de soignant.e.s – de toutes spécialités – femmes et hommes, qui n’ont pas nécessairement l’intention d’être maltraitant.e.s.
Bien que, à l’évidence, tou.te.s les professionnel.le.s de santé ne soient pas auteurs d’actes sexistes, les chiffres attestent d’un phénomène relativement répandu dans le suivi gynécologique et obstétrical des femmes :
• 1 accouchement sur 5 donne lieu à une épisiotomie : 1 femme sur 2 sur laquelle une épisiotomie a été réalisée déplore un manque ou l’absence totale d’explication sur le motif de l’épisiotomie ;
• Les taux d’épisiotomie – toutes grossesses confondues - sont très variables d’une maternité à l’autre : de 0,3 % (dans telle maternité de type 3 – accueillant les grossesses pathologiques et à grands risques) à 45 % (dans telle maternité de type 1 – accueillant des grossesses normales ou à bas risque) ;
• 6% des femmes se déclarent « pas du tout » ou « plutôt pas » satisfaites du suivi de leur grossesse ou de leur accouchement, ce qui représente environ 50 000 femmes pour l’année 2016 ;
• 3,4% des plaintes déposées auprès des instances disciplinaires de l’Ordre des médecins en 2016 concernent des agressions sexuelles et des viols commis par des médecins.
Ces prises en charge inadaptées peuvent s’expliquer par :
- la multiplicité d’occasions en comparaison avec d’autres suivis médicaux (une femme aura en moyenne 50 consultations gynécologiques et obstétricales au cours de sa vie) ;
- l’insuffisante prise en compte du caractère particulièrement intime de ces consultations ;
- le sexisme encore très prégnant dans le secteur médical : 86% des internes en médecine (95% des femmes et 68% des hommes) déclarent avoir été exposé.e.s à du sexisme ;
- l’histoire de la gynécologie médicale, marquée, à l’origine de la spécialité, par la volonté de contrôler le corps des femmes (sexualité et capacité à enfanter) ;
- le manque de moyens humains et financiers alloués au secteur de la santé, et en particulier dans les maternités.
Or, en dépit d’une assez forte prévalence, les actes sexistes sont largement ignorés : les droits et les procédures de signalement sont méconnus des patientes et les procédures disciplinaires inadaptées.
Pour faire du suivi gynécologique et obstétrical des femmes un parcours qui n’entrave ni leurs droits, ni leur autonomie, le Haut Conseil à l’Egalité formule dans son rapport 26 recommandations, articulées autour de 3 axes :
• reconnaître les faits, c’est-à -dire l’existence et l’ampleur des actes sexistes dans le suivi gynécologique et obstétrical ;
• prévenir les actes sexistes, via la formation des professionnel.le.s de santé, l’inscription de l’interdiction des actes sexistes dans le code de déontologie médicale, et la mise en œuvre des recommandations de bonnes pratiques existantes ;
• faciliter les procédures de signalement et condamner sans détour les pratiques sanctionnées par la loi, via l’information des femmes sur leurs droits, l’implication des ordres professionnels et la formation des personnels en contact avec les femmes.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FCPPF000000001169 005 HAU Livres / Brochures Outilthèque Documentaires Disponible
Titre : AVIS142 : consentement et respect de la personne dans la pratique des examens gynécologiques ou touchant à l'intimité Type de document : texte imprimé Auteurs : comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé, Auteur Importance : 37 p. Langues : Français (fre) Index. décimale : 005 VGO - Violences gynécologiques et obstétricales Résumé : Dans son Avis 136 de juillet 2021 sur « L’évolution des enjeux éthiques relatifs au consentement dans le soin », le CCNE a rappelé le droit fondamental de chaque patient de pouvoir prendre part aux décisions de santé qui le concernent, ainsi que le caractère dynamique et évolutif du consentement qui, fondé sur une relation de confiance réciproque, s’adapte au gré du cheminement de la personne et de ses choix.
Le 4 juillet 2022, compte tenu de l’importance et de la sensibilité particulière des examens touchant à l’intimité physique et psychique, la Première ministre, Madame Elisabeth Borne, a saisi le CCNE afin que celui-ci conduise une réflexion approfondie sur la notion de consentement dans le cadre des examens gynécologiques et touchant à l’intimité.
Cet Avis 142, intitulé « Consentement et respect de la personne dans la pratique des examens gynécologiques ou touchant à l’intimité » analyse les enjeux éthiques relatifs à la pratique des examens gynécologiques et/ou médicaux touchant aux zones uro- génitale et ano-rectale, qui peuvent être vécus par les patient(e)s comme relevant de « l’extrême intime ». Ces examens, pratiqués par différents professionnels de santé, relèvent de démarches de dépistage, de diagnostic ou de suivi ; programmés ou non, ils peuvent avoir lieu dans un cadre clinique et/ou d’enseignement.
Cet Avis intervient dans un contexte particulier, marqué par des plaintes déposées par certain(e)s patient(e)s à l’encontre de praticien(ne)s et par des tensions entre associa- tions de patient(e)s et professionnel(le)s de santé, ce qui a conduit les sociétés sa- vantes à se mobiliser et à rédiger des chartes et des recommandations de bonne pra- tique.AVIS142 : consentement et respect de la personne dans la pratique des examens gynécologiques ou touchant à l'intimité [texte imprimé] / comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé, Auteur . - [s.d.] . - 37 p.
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 005 VGO - Violences gynécologiques et obstétricales Résumé : Dans son Avis 136 de juillet 2021 sur « L’évolution des enjeux éthiques relatifs au consentement dans le soin », le CCNE a rappelé le droit fondamental de chaque patient de pouvoir prendre part aux décisions de santé qui le concernent, ainsi que le caractère dynamique et évolutif du consentement qui, fondé sur une relation de confiance réciproque, s’adapte au gré du cheminement de la personne et de ses choix.
Le 4 juillet 2022, compte tenu de l’importance et de la sensibilité particulière des examens touchant à l’intimité physique et psychique, la Première ministre, Madame Elisabeth Borne, a saisi le CCNE afin que celui-ci conduise une réflexion approfondie sur la notion de consentement dans le cadre des examens gynécologiques et touchant à l’intimité.
Cet Avis 142, intitulé « Consentement et respect de la personne dans la pratique des examens gynécologiques ou touchant à l’intimité » analyse les enjeux éthiques relatifs à la pratique des examens gynécologiques et/ou médicaux touchant aux zones uro- génitale et ano-rectale, qui peuvent être vécus par les patient(e)s comme relevant de « l’extrême intime ». Ces examens, pratiqués par différents professionnels de santé, relèvent de démarches de dépistage, de diagnostic ou de suivi ; programmés ou non, ils peuvent avoir lieu dans un cadre clinique et/ou d’enseignement.
Cet Avis intervient dans un contexte particulier, marqué par des plaintes déposées par certain(e)s patient(e)s à l’encontre de praticien(ne)s et par des tensions entre associa- tions de patient(e)s et professionnel(le)s de santé, ce qui a conduit les sociétés sa- vantes à se mobiliser et à rédiger des chartes et des recommandations de bonne pra- tique.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FCPPF000000001080 005 COM Livres / Brochures Outilthèque Documentaires Disponible
Titre : A bras le corps - Affiches A3 : version française Type de document : objet à 3 dimensions, artefacts, ... Editeur : Bruxelles [Belgique] : FCPPF ASBL Année de publication : 2023 Importance : 1 farde 13 (9 affiches A3, 1 page de présentation A3) Présentation : ill. coul. Format : A3 Note générale : Disponible au téléchargement gratuit via la boutique en ligne de la FCPPF. Langues : Français (fre) Index. décimale : 005 VGO - Violences gynécologiques et obstétricales Résumé : Les violences gynécologiques et obstétricales (VGO) sont tous les mauvais traitements, ou agressions psychologiques, physiques ou sexuelles, qui se produisent lors du suivi gynécologique, de la grossesse (qu’elle soit désirée ou non), de l’accouchement, du postpartum, de l’avortement, etc. Les actes relevant des VGO dénient le droit fondamental de poser des choix éclairés, de donner son consentement, d’être acteurice de sa vie et de sa santé.
Les VGO font partie de ces violences, dénoncées par les mots des femmes+, qui peinent parfois à trouver reconnaissance. L’outil pédagogique que vous tenez entre les mains a pour vocation d’offrir des balises afin de créer des espaces dans lesquels les mots peuvent être dits et les expériences partagées.
Au travers d’une exposition thématique autour des violences gynécologiques et obstétricales, différentes pistes d’animation sont proposées afin de faire émerger les discours individuels, les faire dialoguer entre eux et faire apparaître les vécus collectifs.
La parole des femmes+ porte en elle une force de changement puissante : au travers des mots, ces animations proposent de retrouver la force du collectif, de transformer la colère en révolte, et la révolte en changement.
Public cible :
Cet outil s’adresse d’abord aux personnes concernées de près ou de loin par les VGO, qu’elles soient patientes, victimes ou témoins ;
Professionnel·les dont le public ou la patientèle peut être concerné·e ; Personnes engagées au sein de groupes ou d’associations féministes ; Toutes personnes et toutes structures souhaitant aborder la thématique des VGO en équipe ou avec ses publics.Note de contenu : > Texte de présentation de "A bras le corps"
> Femmes+ racisées : à l'intersection de plusieurs systèmes d'oppression
> Personnes intersexuées : au cœur des violences médicales basées sur le genre
> L'autodéfense féministe: un moyen pour les femmes+ de (re)prendre du pouvoir sur leur vie et dans leur parcours de santé
> Lesbiennes, bisexuelles & co : un public invisibilisé
> L'auto-santé : mon corps, mes soins, mes choix
> L'IVG sous pression
> "Tu enfanteras dans la douleur..."
> Personnes trans : souvent jugées ou discriminées
> Violences gynécologiques et obstétricales (VGO) : de quoi s'agit-il ?
En ligne : https://fcppf.be/produit/a-bras-le-corps/ A bras le corps - Affiches A3 : version française [objet à 3 dimensions, artefacts, ...] . - Bruxelles [Belgique] : FCPPF ASBL, 2023 . - 1 farde 13 (9 affiches A3, 1 page de présentation A3) : ill. coul. ; A3.
Disponible au téléchargement gratuit via la boutique en ligne de la FCPPF.
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 005 VGO - Violences gynécologiques et obstétricales Résumé : Les violences gynécologiques et obstétricales (VGO) sont tous les mauvais traitements, ou agressions psychologiques, physiques ou sexuelles, qui se produisent lors du suivi gynécologique, de la grossesse (qu’elle soit désirée ou non), de l’accouchement, du postpartum, de l’avortement, etc. Les actes relevant des VGO dénient le droit fondamental de poser des choix éclairés, de donner son consentement, d’être acteurice de sa vie et de sa santé.
Les VGO font partie de ces violences, dénoncées par les mots des femmes+, qui peinent parfois à trouver reconnaissance. L’outil pédagogique que vous tenez entre les mains a pour vocation d’offrir des balises afin de créer des espaces dans lesquels les mots peuvent être dits et les expériences partagées.
Au travers d’une exposition thématique autour des violences gynécologiques et obstétricales, différentes pistes d’animation sont proposées afin de faire émerger les discours individuels, les faire dialoguer entre eux et faire apparaître les vécus collectifs.
La parole des femmes+ porte en elle une force de changement puissante : au travers des mots, ces animations proposent de retrouver la force du collectif, de transformer la colère en révolte, et la révolte en changement.
Public cible :
Cet outil s’adresse d’abord aux personnes concernées de près ou de loin par les VGO, qu’elles soient patientes, victimes ou témoins ;
Professionnel·les dont le public ou la patientèle peut être concerné·e ; Personnes engagées au sein de groupes ou d’associations féministes ; Toutes personnes et toutes structures souhaitant aborder la thématique des VGO en équipe ou avec ses publics.Note de contenu : > Texte de présentation de "A bras le corps"
> Femmes+ racisées : à l'intersection de plusieurs systèmes d'oppression
> Personnes intersexuées : au cœur des violences médicales basées sur le genre
> L'autodéfense féministe: un moyen pour les femmes+ de (re)prendre du pouvoir sur leur vie et dans leur parcours de santé
> Lesbiennes, bisexuelles & co : un public invisibilisé
> L'auto-santé : mon corps, mes soins, mes choix
> L'IVG sous pression
> "Tu enfanteras dans la douleur..."
> Personnes trans : souvent jugées ou discriminées
> Violences gynécologiques et obstétricales (VGO) : de quoi s'agit-il ?
En ligne : https://fcppf.be/produit/a-bras-le-corps/ Traduit sous le titreExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FCPPF000000001232 005 BRA Affiches / Posters Outilthèque Documentaires Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkFragiles ou contagieuses. Le pouvoir médical et le corps des femmes
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