Titre : |
AVIS142 : consentement et respect de la personne dans la pratique des examens gynécologiques ou touchant à l'intimité |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé, Auteur |
Importance : |
37 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
005 VGO - Violences gynécologiques et obstétricales |
Résumé : |
Dans son Avis 136 de juillet 2021 sur « L’évolution des enjeux éthiques relatifs au consentement dans le soin », le CCNE a rappelé le droit fondamental de chaque patient de pouvoir prendre part aux décisions de santé qui le concernent, ainsi que le caractère dynamique et évolutif du consentement qui, fondé sur une relation de confiance réciproque, s’adapte au gré du cheminement de la personne et de ses choix.
Le 4 juillet 2022, compte tenu de l’importance et de la sensibilité particulière des examens touchant à l’intimité physique et psychique, la Première ministre, Madame Elisabeth Borne, a saisi le CCNE afin que celui-ci conduise une réflexion approfondie sur la notion de consentement dans le cadre des examens gynécologiques et touchant à l’intimité.
Cet Avis 142, intitulé « Consentement et respect de la personne dans la pratique des examens gynécologiques ou touchant à l’intimité » analyse les enjeux éthiques relatifs à la pratique des examens gynécologiques et/ou médicaux touchant aux zones uro- génitale et ano-rectale, qui peuvent être vécus par les patient(e)s comme relevant de « l’extrême intime ». Ces examens, pratiqués par différents professionnels de santé, relèvent de démarches de dépistage, de diagnostic ou de suivi ; programmés ou non, ils peuvent avoir lieu dans un cadre clinique et/ou d’enseignement.
Cet Avis intervient dans un contexte particulier, marqué par des plaintes déposées par certain(e)s patient(e)s à l’encontre de praticien(ne)s et par des tensions entre associa- tions de patient(e)s et professionnel(le)s de santé, ce qui a conduit les sociétés sa- vantes à se mobiliser et à rédiger des chartes et des recommandations de bonne pra- tique. |
AVIS142 : consentement et respect de la personne dans la pratique des examens gynécologiques ou touchant à l'intimité [texte imprimé] / comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé, Auteur . - [s.d.] . - 37 p. Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
005 VGO - Violences gynécologiques et obstétricales |
Résumé : |
Dans son Avis 136 de juillet 2021 sur « L’évolution des enjeux éthiques relatifs au consentement dans le soin », le CCNE a rappelé le droit fondamental de chaque patient de pouvoir prendre part aux décisions de santé qui le concernent, ainsi que le caractère dynamique et évolutif du consentement qui, fondé sur une relation de confiance réciproque, s’adapte au gré du cheminement de la personne et de ses choix.
Le 4 juillet 2022, compte tenu de l’importance et de la sensibilité particulière des examens touchant à l’intimité physique et psychique, la Première ministre, Madame Elisabeth Borne, a saisi le CCNE afin que celui-ci conduise une réflexion approfondie sur la notion de consentement dans le cadre des examens gynécologiques et touchant à l’intimité.
Cet Avis 142, intitulé « Consentement et respect de la personne dans la pratique des examens gynécologiques ou touchant à l’intimité » analyse les enjeux éthiques relatifs à la pratique des examens gynécologiques et/ou médicaux touchant aux zones uro- génitale et ano-rectale, qui peuvent être vécus par les patient(e)s comme relevant de « l’extrême intime ». Ces examens, pratiqués par différents professionnels de santé, relèvent de démarches de dépistage, de diagnostic ou de suivi ; programmés ou non, ils peuvent avoir lieu dans un cadre clinique et/ou d’enseignement.
Cet Avis intervient dans un contexte particulier, marqué par des plaintes déposées par certain(e)s patient(e)s à l’encontre de praticien(ne)s et par des tensions entre associa- tions de patient(e)s et professionnel(le)s de santé, ce qui a conduit les sociétés sa- vantes à se mobiliser et à rédiger des chartes et des recommandations de bonne pra- tique. |
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