Outilthèque de la FCPPF
Détail de l'auteur
Auteur Lola CLAVREUL |
Documents disponibles écrits par cet auteur (4)
Affiner la recherche Interroger des sources externes
[n° ou bulletin]
Titre : 372 - Mai-Juin 2024 - Evras : les dessous d’une panique morale Type de document : texte imprimé Auteurs : Lola CLAVREUL, Auteur ; Célia DIDIER, Auteur Année de publication : 2024 Importance : 46 p. Présentation : ill. coul. Format : 27 cm Prix : Prix libre Langues : Français (fre) Index. décimale : 036-1 EVRAS - Théorie et documentation sur l'EVRAS en Education Permanente Résumé : L’Education à la vie relationnelle, affective et sexuelle (Evras), c’est avant tout un dispositif qui accompagne modestement (4 malheureuses heures perdues au milieu des études primaires et secondaires) les enfants et adolescents dans leur devenir de citoyens responsables et épanouis dans leurs relations humaines, capables d’assumer leurs choix dans le respect de soi et des autres. Elle fait partie de la promotion de la santé à l’école.
L’Evras est une des missions de l’enseignement obligatoire depuis 2012. Mais en vrai, moins de 20 % des élèves en Région de Bruxelles-Capitale ont bénéficié d’au moins une animation en 20181. Il faut attendre juillet 2023 pour que le cadre législatif change en faveur d’une généralisation du dispositif à tous les élèves.
En réaction, des manifestants anti Evras ont battu le pavé en scandant “Ne touchez pas à nos enfants !”, persuadés que les animations représentent une menace civilisationnelle ciblant directement les élèves. Fin 2023, pas moins de six écoles ont été incendiées dans la région de Charleroi ; à ce jour, l’enquête est toujours en cours.
Faire de l’Evras n’est pas facile. Mais comment en est-on arrivé à ces exaspérations et à tant de désinformation ? Qui sont ces manifestants, curieux conglomérat de groupes d’extrême-droite et de parents conservateurs catholiques et musulmans ? Pourquoi l’Evras les heurte-t-il tant ? Comment les professionnels répondent-ils à ces tensions ? Qu’est-ce que cette panique morale dit de la société? Et avant tout, qu’est-ce que l’Evras ? Pourquoi, des 5 lettres de l’acronyme, les anti n’ont-ils retenu que le S – la sexualité qui alimente les débats et génère des peurs irraisonnées, surtout quand elle concerne les enfants ? Même dans une société qui se dit libérée, la sexualité reste un sujet sensible, voire tabou, car elle touche à nos valeurs, à l’intime. Et paradoxalement, la sexualité est partout: au cinéma, sur internet, dans l’espace public.Note de contenu : > Edito
>>> Essentielles / Pascal Peerboom
>Panoramique
>>> Historique de l’Evras, naissance d’une polémique / Chloé MERCKX
Les dissensions autour de l’Evras permettent de mettre en lumière des problématiques, et invitent au débat. Avoir une mise en tension des points de vue fait aussi partie de l’Evras !
>>> “Le public de l’Evras? C’est les élèves. Pas les parents, pas les profs” / Martine VANDEMEULEBROUCKE
Comme nous l’expliquent celles et ceux qui les font vivre, les animations Evras sont plus nécessaires que jamais dans une société traversée par les violences sociétales et de genre.
>>> Le point de vue des associations de parents / Charlotte RICCARDI
Rencontre avec les associations de parents et les réseaux opérateurs de l’enseignement catholique et officiel autour de l’Evras.
>>> Tisser son identité. Quand l’EVRAS sert de fil / Lola CLAVREUL et Célia DIDIER (FCPPF ASBL)
Avec l’Evras, il s’agit de permettre aux jeunes de tisser leurs propres chemins entre les injonctions familiales, culturelles, religieuses, amicales, sociales.
>>> Cachez ce guide que je ne saurais voir! / Nathalie DELCHAMBRE
Dans le guide Evras, la diversité des orientations sexuelles et des identités de genre n’est pas invisibilisée. Ce qui ne plaît pas à une minorité de contestataires.
>>> A quel point est-on normatif ? / Entretien avec Myriam MONHEIM
Que répondre aux opposant·es de l’Evras qui craignent que déconstruire les stéréotypes de genre conduit à promouvoir la transidentité ?
>>> Je me sens Aphrodite et Zeus en même temps! / Entretien avec Camille HUSSON et Marion LORY
Dans le spectacle SEXPLAY Nos Panthères Nos Joyaux, il est question de sexualité(s), de tabous, de chemins non balisés par les conventions.
>>> L’art pour dédramatiser / Entretien Pierre-Olivier ROLLIN
L’art n’est jamais scandaleux ; c’est la société qui se scandalise. Alors, une éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle à travers l’histoire de l’art : pourquoi pas !
>>> L’école de la rue / Massimo BORTOLINI
Dans la rue, pas besoin de code d’accès pour voir du et des sexe(s). Pas besoin de contrôle parental. Aucune explication. Aucun accompagnement. On zyeute.
>Focus sur l’hospitalité
>>> Ouvrir sa porte, et après ? / Entretien avec Andrea REA & Antoine ROBLAIN
La manière de questionner l’hospitalité n’est pas indépendante des politiques d’accueil. Il s’agit d’ancrer le micro (la relation entre l’invitant et l’hôte) dans le macro (la politique d’accueil).
>>> Info dessinée / Dessin : Barrack Zailaa Rima. Texte : Nathalie Caprioli
Une cohabitation (temporaire) comme une autre
Voici une histoire très bruxelloise, quand un Guinéen rencontre une famille hispano-luxembourgeoise via Singa, asbl créatrice de liens en cohabitation solidaire entre Bruxellois et réfugiés.En ligne : https://www.cbai.be/imag372_maijuin-2024/ [n° ou bulletin] 372 - Mai-Juin 2024 - Evras : les dessous d’une panique morale [texte imprimé] / Lola CLAVREUL, Auteur ; Célia DIDIER, Auteur . - 2024 . - 46 p. : ill. coul. ; 27 cm.
Prix libre
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 036-1 EVRAS - Théorie et documentation sur l'EVRAS en Education Permanente Résumé : L’Education à la vie relationnelle, affective et sexuelle (Evras), c’est avant tout un dispositif qui accompagne modestement (4 malheureuses heures perdues au milieu des études primaires et secondaires) les enfants et adolescents dans leur devenir de citoyens responsables et épanouis dans leurs relations humaines, capables d’assumer leurs choix dans le respect de soi et des autres. Elle fait partie de la promotion de la santé à l’école.
L’Evras est une des missions de l’enseignement obligatoire depuis 2012. Mais en vrai, moins de 20 % des élèves en Région de Bruxelles-Capitale ont bénéficié d’au moins une animation en 20181. Il faut attendre juillet 2023 pour que le cadre législatif change en faveur d’une généralisation du dispositif à tous les élèves.
En réaction, des manifestants anti Evras ont battu le pavé en scandant “Ne touchez pas à nos enfants !”, persuadés que les animations représentent une menace civilisationnelle ciblant directement les élèves. Fin 2023, pas moins de six écoles ont été incendiées dans la région de Charleroi ; à ce jour, l’enquête est toujours en cours.
Faire de l’Evras n’est pas facile. Mais comment en est-on arrivé à ces exaspérations et à tant de désinformation ? Qui sont ces manifestants, curieux conglomérat de groupes d’extrême-droite et de parents conservateurs catholiques et musulmans ? Pourquoi l’Evras les heurte-t-il tant ? Comment les professionnels répondent-ils à ces tensions ? Qu’est-ce que cette panique morale dit de la société? Et avant tout, qu’est-ce que l’Evras ? Pourquoi, des 5 lettres de l’acronyme, les anti n’ont-ils retenu que le S – la sexualité qui alimente les débats et génère des peurs irraisonnées, surtout quand elle concerne les enfants ? Même dans une société qui se dit libérée, la sexualité reste un sujet sensible, voire tabou, car elle touche à nos valeurs, à l’intime. Et paradoxalement, la sexualité est partout: au cinéma, sur internet, dans l’espace public.Note de contenu : > Edito
>>> Essentielles / Pascal Peerboom
>Panoramique
>>> Historique de l’Evras, naissance d’une polémique / Chloé MERCKX
Les dissensions autour de l’Evras permettent de mettre en lumière des problématiques, et invitent au débat. Avoir une mise en tension des points de vue fait aussi partie de l’Evras !
>>> “Le public de l’Evras? C’est les élèves. Pas les parents, pas les profs” / Martine VANDEMEULEBROUCKE
Comme nous l’expliquent celles et ceux qui les font vivre, les animations Evras sont plus nécessaires que jamais dans une société traversée par les violences sociétales et de genre.
>>> Le point de vue des associations de parents / Charlotte RICCARDI
Rencontre avec les associations de parents et les réseaux opérateurs de l’enseignement catholique et officiel autour de l’Evras.
>>> Tisser son identité. Quand l’EVRAS sert de fil / Lola CLAVREUL et Célia DIDIER (FCPPF ASBL)
Avec l’Evras, il s’agit de permettre aux jeunes de tisser leurs propres chemins entre les injonctions familiales, culturelles, religieuses, amicales, sociales.
>>> Cachez ce guide que je ne saurais voir! / Nathalie DELCHAMBRE
Dans le guide Evras, la diversité des orientations sexuelles et des identités de genre n’est pas invisibilisée. Ce qui ne plaît pas à une minorité de contestataires.
>>> A quel point est-on normatif ? / Entretien avec Myriam MONHEIM
Que répondre aux opposant·es de l’Evras qui craignent que déconstruire les stéréotypes de genre conduit à promouvoir la transidentité ?
>>> Je me sens Aphrodite et Zeus en même temps! / Entretien avec Camille HUSSON et Marion LORY
Dans le spectacle SEXPLAY Nos Panthères Nos Joyaux, il est question de sexualité(s), de tabous, de chemins non balisés par les conventions.
>>> L’art pour dédramatiser / Entretien Pierre-Olivier ROLLIN
L’art n’est jamais scandaleux ; c’est la société qui se scandalise. Alors, une éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle à travers l’histoire de l’art : pourquoi pas !
>>> L’école de la rue / Massimo BORTOLINI
Dans la rue, pas besoin de code d’accès pour voir du et des sexe(s). Pas besoin de contrôle parental. Aucune explication. Aucun accompagnement. On zyeute.
>Focus sur l’hospitalité
>>> Ouvrir sa porte, et après ? / Entretien avec Andrea REA & Antoine ROBLAIN
La manière de questionner l’hospitalité n’est pas indépendante des politiques d’accueil. Il s’agit d’ancrer le micro (la relation entre l’invitant et l’hôte) dans le macro (la politique d’accueil).
>>> Info dessinée / Dessin : Barrack Zailaa Rima. Texte : Nathalie Caprioli
Une cohabitation (temporaire) comme une autre
Voici une histoire très bruxelloise, quand un Guinéen rencontre une famille hispano-luxembourgeoise via Singa, asbl créatrice de liens en cohabitation solidaire entre Bruxellois et réfugiés.En ligne : https://www.cbai.be/imag372_maijuin-2024/ Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FCPPF000000001161 004-6 IMA Périodiques Outilthèque Documentaires Disponible Documents numériques
ImaG #372 - mai/juin 2024 Evras : les dessous d’une panique moraleURL Etude critique de la loi relative à l'interruption volontaire de grossesse du 15 octobre 2018 / Lola CLAVREUL
Titre : Etude critique de la loi relative à l'interruption volontaire de grossesse du 15 octobre 2018 Type de document : texte imprimé Auteurs : Lola CLAVREUL, Auteur ; Célia DIDIER, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : FCPPF ASBL Année de publication : 2023 Importance : 20 p. Format : A4 Note générale : Disponible gratuitement au téléchargement sur internet: https://fcppf.be/etude-critique-de-la-loi-relative-a-linterruption-volontaire-de-grossesse-du-15-octobre-2018/ Langues : Français (fre) Index. décimale : 028 Santé, corps et anatomie - Procréation, grossesse, fausses couches, IVG Résumé : Cette étude a été rédigée dans le cadre des débats entourant la loi de 2018, au moment de son analyse par un comité interuniversitaire d’expert·es. Elle vise à apporter un point de vue critique sur la loi actuelle, aussi bien pour les professionnel·les du secteur des centres de planning familial, que pour toute personne qui s’intéresserait aux enjeux soulevés par le droit à l’IVG et plus largement à l’accès aux droits sexuels et reproductifs.
Notre étude se fonde sur notre expertise du terrain, et sur des échanges ayant lieu avec nos centres, mais également au sein de la plateforme Abortion Right avec laquelle nous avions mené une recherche en 2021 sur les femmes ayant dépassé le délai légal, et qui avait abouti à une publication dans le magazine Alter Echos. Nous soulignons ici les défis rencontrés par les femmes souhaitant accéder à l’IVG hors des délais légaux de 12 semaines, et qui doivent faire face à des circonstances imprévues ou des obstacles extérieurs tels que la non-détection de la grossesse, le déni de grossesse, la coercition reproductive, ou les violences sexuelles. Ces femmes, souvent dans une situation précaire, sont contraintes de se tourner vers l’étranger pour une IVG, ce qui implique des coûts supplémentaires et des difficultés. L’allongement des délais d’IVG serait une mesure de santé publique garantissant un accès équitable et sécurisé à l’IVG en Belgique, réduisant ainsi les disparités sociales et les risques pour les femmes et personnes concernées.
Nous insistons ici sur la nécessité de supprimer les sanctions pénales contre les médecins et patientes, arguant que ces sanctions maintiennent un climat de méfiance et de stigmatisation autour de l’IVG. Nous recommandons de supprimer le délai de réflexion de six jours, délai infantilisant et contraire à l’autonomie des femmes dans la prise de décisions concernant leur corps et leur santé. Nous préconisons également de supprimer l’obligation de proposer aux femmes de poursuivre leur grossesse pour donner l’enfant en adoption, clause que nous jugeons nataliste et contraire à l’esprit de la loi sur l’IVG. Enfin, nous suggérons d’encadrer la clause de conscience pour éviter les dérives, afin de garantir un accès effectif à l’IVG et de protéger les droits des femmes. Ces propositions visent à transformer les représentations de l’IVG et à promouvoir une approche moins culpabilisante, reconnaissant l’IVG comme une question de santé publique et non morale.
Pour conclure l’étude, nous examinons les difficultés spécifiques liées à la mise en œuvre effective de la législation encadrant l’IVG. La pénurie de médecins formé.es pour pratiquer l’IVG, liée à une information insuffisante et un manque d’attrait pour la médecine sociale, crée des zones où l’accès à l’IVG est très limité, affectant particulièrement les femmes en situation précaire. Nous recommandons une refonte de la formation médicale, intégrant l’IVG de manière substantielle dans les cursus, pour briser le tabou entourant cette pratique. Nous insistons également sur la nécessité d’un site officiel belge fournissant des informations fiables et neutres sur l’IVG, de campagnes de sensibilisation pour déstigmatiser l’IVG, et de l’interdiction des campagnes anti-IVG. Nous soulignons l’importance de l’éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle (EVRAS) dès le plus jeune âge afin de réduire les stéréotypes et fournir des informations fiables sur l’IVG. Enfin, nous proposons de rendre les moyens de contraception gratuits et accessibles pour tou·tes.En ligne : https://fcppf.be/wp-content/uploads/2023/12/Etude-critique-de-la-loi-relative-a- [...] Etude critique de la loi relative à l'interruption volontaire de grossesse du 15 octobre 2018 [texte imprimé] / Lola CLAVREUL, Auteur ; Célia DIDIER, Auteur . - Bruxelles [Belgique] : FCPPF ASBL, 2023 . - 20 p. ; A4.
Disponible gratuitement au téléchargement sur internet: https://fcppf.be/etude-critique-de-la-loi-relative-a-linterruption-volontaire-de-grossesse-du-15-octobre-2018/
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 028 Santé, corps et anatomie - Procréation, grossesse, fausses couches, IVG Résumé : Cette étude a été rédigée dans le cadre des débats entourant la loi de 2018, au moment de son analyse par un comité interuniversitaire d’expert·es. Elle vise à apporter un point de vue critique sur la loi actuelle, aussi bien pour les professionnel·les du secteur des centres de planning familial, que pour toute personne qui s’intéresserait aux enjeux soulevés par le droit à l’IVG et plus largement à l’accès aux droits sexuels et reproductifs.
Notre étude se fonde sur notre expertise du terrain, et sur des échanges ayant lieu avec nos centres, mais également au sein de la plateforme Abortion Right avec laquelle nous avions mené une recherche en 2021 sur les femmes ayant dépassé le délai légal, et qui avait abouti à une publication dans le magazine Alter Echos. Nous soulignons ici les défis rencontrés par les femmes souhaitant accéder à l’IVG hors des délais légaux de 12 semaines, et qui doivent faire face à des circonstances imprévues ou des obstacles extérieurs tels que la non-détection de la grossesse, le déni de grossesse, la coercition reproductive, ou les violences sexuelles. Ces femmes, souvent dans une situation précaire, sont contraintes de se tourner vers l’étranger pour une IVG, ce qui implique des coûts supplémentaires et des difficultés. L’allongement des délais d’IVG serait une mesure de santé publique garantissant un accès équitable et sécurisé à l’IVG en Belgique, réduisant ainsi les disparités sociales et les risques pour les femmes et personnes concernées.
Nous insistons ici sur la nécessité de supprimer les sanctions pénales contre les médecins et patientes, arguant que ces sanctions maintiennent un climat de méfiance et de stigmatisation autour de l’IVG. Nous recommandons de supprimer le délai de réflexion de six jours, délai infantilisant et contraire à l’autonomie des femmes dans la prise de décisions concernant leur corps et leur santé. Nous préconisons également de supprimer l’obligation de proposer aux femmes de poursuivre leur grossesse pour donner l’enfant en adoption, clause que nous jugeons nataliste et contraire à l’esprit de la loi sur l’IVG. Enfin, nous suggérons d’encadrer la clause de conscience pour éviter les dérives, afin de garantir un accès effectif à l’IVG et de protéger les droits des femmes. Ces propositions visent à transformer les représentations de l’IVG et à promouvoir une approche moins culpabilisante, reconnaissant l’IVG comme une question de santé publique et non morale.
Pour conclure l’étude, nous examinons les difficultés spécifiques liées à la mise en œuvre effective de la législation encadrant l’IVG. La pénurie de médecins formé.es pour pratiquer l’IVG, liée à une information insuffisante et un manque d’attrait pour la médecine sociale, crée des zones où l’accès à l’IVG est très limité, affectant particulièrement les femmes en situation précaire. Nous recommandons une refonte de la formation médicale, intégrant l’IVG de manière substantielle dans les cursus, pour briser le tabou entourant cette pratique. Nous insistons également sur la nécessité d’un site officiel belge fournissant des informations fiables et neutres sur l’IVG, de campagnes de sensibilisation pour déstigmatiser l’IVG, et de l’interdiction des campagnes anti-IVG. Nous soulignons l’importance de l’éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle (EVRAS) dès le plus jeune âge afin de réduire les stéréotypes et fournir des informations fiables sur l’IVG. Enfin, nous proposons de rendre les moyens de contraception gratuits et accessibles pour tou·tes.En ligne : https://fcppf.be/wp-content/uploads/2023/12/Etude-critique-de-la-loi-relative-a- [...] Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FCPPF000000001142 028 CLA Livres / Brochures Bibliothèque interne Documentaires Disponible Pourquoi faut-il autoriser la délivrance de la contraception d'urgence à l'accueil des centres de planning familial / Lola CLAVREUL
Titre : Pourquoi faut-il autoriser la délivrance de la contraception d'urgence à l'accueil des centres de planning familial Type de document : texte imprimé Auteurs : Lola CLAVREUL, Auteur ; Célia DIDIER, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : FCPPF ASBL Année de publication : 2023 Importance : 5 p. Format : A4 Note générale : Disponible gratuitement sur internet: https://fcppf.be/pourquoi-faut-il-autoriser-la-delivrance-de-la-contraception-durgence-a-laccueil-des-centres-de-planning-familial/ Langues : Français (fre) Index. décimale : 024-4 Santé, corps et anatomie - Contraception Résumé : Cette analyse a été rédigée afin d’éclairer les enjeux liés à l’accès de la contraception d’urgence à l’accueil des centres de planning familial. Il est issu d’une réflexion nourrie par les centres de planning familial et leurs fédérations, et s’appuie aussi bien sur la base légale que sur l’expérience sur le terrain des équipes et des bénéficiaires.
Depuis 2020, la pilule d’urgence est disponible sans prescription en pharmacie et pour un tarif modique allant jusqu’à la gratuité, mais sa distribution dans les centres de planning familial reste empêchée. Nous soulignons ici l’importance des centres de planning en tant qu’acteurs clés de la santé reproductive, offrant un accès confidentiel et pluridisciplinaire aux services de contraception. Nous insistons sur la nécessité d’une distribution plus accessible de la contraception d’urgence dans ces centres, afin de répondre efficacement aux besoins urgents et souvent complexes des femmes, en particulier dans les situations précaires. Nous proposons une analyse critique la législation actuelle qui limite la distribution de la contraception, créant des obstacles inutiles. Nous recommandons une modification de la loi afin de renforcer le rôle des centres de planning familial dans la prévention des grossesses non désirées et la promotion des droits sexuels et reproductifs.En ligne : https://fcppf.be/wp-content/uploads/2023/12/Pourquoi-faut-il-autoriser-la-delivr [...] Pourquoi faut-il autoriser la délivrance de la contraception d'urgence à l'accueil des centres de planning familial [texte imprimé] / Lola CLAVREUL, Auteur ; Célia DIDIER, Auteur . - Bruxelles [Belgique] : FCPPF ASBL, 2023 . - 5 p. ; A4.
Disponible gratuitement sur internet: https://fcppf.be/pourquoi-faut-il-autoriser-la-delivrance-de-la-contraception-durgence-a-laccueil-des-centres-de-planning-familial/
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 024-4 Santé, corps et anatomie - Contraception Résumé : Cette analyse a été rédigée afin d’éclairer les enjeux liés à l’accès de la contraception d’urgence à l’accueil des centres de planning familial. Il est issu d’une réflexion nourrie par les centres de planning familial et leurs fédérations, et s’appuie aussi bien sur la base légale que sur l’expérience sur le terrain des équipes et des bénéficiaires.
Depuis 2020, la pilule d’urgence est disponible sans prescription en pharmacie et pour un tarif modique allant jusqu’à la gratuité, mais sa distribution dans les centres de planning familial reste empêchée. Nous soulignons ici l’importance des centres de planning en tant qu’acteurs clés de la santé reproductive, offrant un accès confidentiel et pluridisciplinaire aux services de contraception. Nous insistons sur la nécessité d’une distribution plus accessible de la contraception d’urgence dans ces centres, afin de répondre efficacement aux besoins urgents et souvent complexes des femmes, en particulier dans les situations précaires. Nous proposons une analyse critique la législation actuelle qui limite la distribution de la contraception, créant des obstacles inutiles. Nous recommandons une modification de la loi afin de renforcer le rôle des centres de planning familial dans la prévention des grossesses non désirées et la promotion des droits sexuels et reproductifs.En ligne : https://fcppf.be/wp-content/uploads/2023/12/Pourquoi-faut-il-autoriser-la-delivr [...] Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FCPPF000000001141 029 CLA Livres / Brochures Bibliothèque interne Documentaires Disponible
Titre : Le temps d'une pause : de la mésinformatioon en cascade à la pensée complexe et nuancée au sujet de l'EVRAS Type de document : texte imprimé Auteurs : Lola CLAVREUL, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : FCPPF ASBL Année de publication : 2023 Importance : 3 p. Format : A4 Note générale : Disponible gratuitement sur internet: https://fcppf.be/le-temps-dune-pause-de-la-mesinformation-en-cascade-a-la-pensee-complexe-et-nuancee-au-sujet-de-levras/ Langues : Français (fre) Index. décimale : 036-1 EVRAS - Théorie et documentation sur l'EVRAS en Education Permanente Résumé : Cette analyse a été rédigée en septembre 2023, période à laquelle l’EVRAS a fait l’objet d’une vive polémique et de fortes contestations. Elle a notamment été diffusée dans la Libre Belgique sous la forme d’une carte blanche. Nous explorons ici les enjeux et les interrogations autour de l’EVRAS dans les écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles, avec un focus sur le concept de « neutralité ».
Depuis 2012, chaque école est tenue d’éduquer au respect de la personnalité et des convictions de chacun, de proscrire la violence, et de mettre en place des pratiques démocratiques de citoyenneté. L’EVRAS vise à accompagner chaque jeune vers l’âge adulte en abordant la sexualité comme un aspect central de l’être humain. Nous soutenons ici que l’EVRAS ne promeut pas une doctrine mais ouvre des débats critiques. Nous défendons le principe de neutralité comme fondamental pour une société pluraliste et pour encourager le dialogue et la réflexion. Nous mettons également en avant la responsabilité des adultes de fournir une éducation qui puisse permettre aux enfants et aux jeunes de développer une pensée complexe et nuancée. Enfin, nous insistons sur le rôle des animations EVRAS comme vecteur pour contribuer à une société plus égalitaire et moins violente.
En ligne : https://fcppf.be/wp-content/uploads/2023/12/Le-temps-dune-pause-de-la-mesinforma [...] Le temps d'une pause : de la mésinformatioon en cascade à la pensée complexe et nuancée au sujet de l'EVRAS [texte imprimé] / Lola CLAVREUL, Auteur . - Bruxelles [Belgique] : FCPPF ASBL, 2023 . - 3 p. ; A4.
Disponible gratuitement sur internet: https://fcppf.be/le-temps-dune-pause-de-la-mesinformation-en-cascade-a-la-pensee-complexe-et-nuancee-au-sujet-de-levras/
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 036-1 EVRAS - Théorie et documentation sur l'EVRAS en Education Permanente Résumé : Cette analyse a été rédigée en septembre 2023, période à laquelle l’EVRAS a fait l’objet d’une vive polémique et de fortes contestations. Elle a notamment été diffusée dans la Libre Belgique sous la forme d’une carte blanche. Nous explorons ici les enjeux et les interrogations autour de l’EVRAS dans les écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles, avec un focus sur le concept de « neutralité ».
Depuis 2012, chaque école est tenue d’éduquer au respect de la personnalité et des convictions de chacun, de proscrire la violence, et de mettre en place des pratiques démocratiques de citoyenneté. L’EVRAS vise à accompagner chaque jeune vers l’âge adulte en abordant la sexualité comme un aspect central de l’être humain. Nous soutenons ici que l’EVRAS ne promeut pas une doctrine mais ouvre des débats critiques. Nous défendons le principe de neutralité comme fondamental pour une société pluraliste et pour encourager le dialogue et la réflexion. Nous mettons également en avant la responsabilité des adultes de fournir une éducation qui puisse permettre aux enfants et aux jeunes de développer une pensée complexe et nuancée. Enfin, nous insistons sur le rôle des animations EVRAS comme vecteur pour contribuer à une société plus égalitaire et moins violente.
En ligne : https://fcppf.be/wp-content/uploads/2023/12/Le-temps-dune-pause-de-la-mesinforma [...] Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FCPPF000000001140 036 CLA Livres / Brochures Bibliothèque interne Documentaires Disponible